Michel Aoun et Gebran Bassil
Parmi les choses les plus importantes qui sont venues dans un discours lors de l’une des apparitions de l’ancien ministre Gebran Bassil: »
Nous seuls avons un papier prioritaire présidentiel, une vision complète pour le développement du système, et nous avons un projet économique financier, un plan énergie, pétrole, gaz, eau, barrages, et de multiples plans sectoriels.
Ici, la source pose la question à Bassil si ce document est une version révisée de celui que l’ancien président Michel Aoun a promis de mettre en œuvre, à travers son adhésion au ministère de l’Énergie « il veut toujours », sachant que tout le monde de près ou de loin n’a pas doute quant à son succès à occuper la liste des ministères ratés, malgré les énormes capacités matérielles qui ont été injectées dans ses veines.
Dans le langage des chiffres, il est seul, car il est entouré d’une équipe parlementaire incohérente dans un bloc appelé « le Liban fort ».
Quant aux députés de la vieille garde, députés et personnalités, ils ont formé les piliers qui ont amené Basile au sommet d’Aounian.
Ils ont attendu de se « désengager » des aventures de Bassil qui ont renversé toutes les conquêtes partisanes et mis fin à l’élan aouniste parmi les partisans.
Il continuera de déchaîner ses critiques, que l’institution militaire n’a pas épargnées, en la personne de son commandant, le général Joseph Aoun, dont le nom semble circuler dans les cercles étroits et dans les fuites médiatiques.
Il lui a fallu utiliser sa calculatrice pour corriger les flèches sur l’aide que le chef de l’institution militaire était en mesure d’obtenir pour les membres de l’institution militaire.