La visite de la délégation parlementaire arabe, qui ne peut être qualifiée de « haut niveau », a été le fait que la participation réelle et essentielle des pays actifs, menés par le Royaume d’Arabie Saoudite, était absente…
Ajoutez à cela les positions émises après la rencontre avec le président du régime, Bachar al-Assad, qui ont mis l’accent sur son caractère humanitaire, et ce qui a été émis hier par la Chambre des représentants américaine en termes de son vote à 414 voix contre deux voix contre un résolution condamnant le régime de Bachar al-Assad pour avoir empêché l’aide internationale d’atteindre les personnes touchées par le tremblement de terre et son opposition à la levée des sanctions confirme qu’il n’y a pas de retour en arrière sur la question du régime, selon une source spéciale de « Voice of Beirut International. »
Selon la source, cette visite a suscité de nombreuses critiques et analyses sur la possibilité de « flotter » al-Assad en prélude à son retour dans le giron arabe et à son expulsion de Téhéran. C’est quelque chose que d’autres voient comme une provocation contre le peuple syrien, qui a payé le prix de son opposition à ce régime, près d’un million de victimes.
A une époque où l’Iran a violé la géographie syrienne sur le plan sécuritaire, politique et militaire, cela se manifeste à travers les raids lancés par l’armée de l’air israélienne sur les dépôts d’armes et sur certains dirigeants iraniens et leurs milices.
Ce qui se passe en Syrie, selon la source, doit avoir des répercussions sur la scène libanaise, dans laquelle certains responsables attendent les résultats de cette visite pour pousser un soupir de soulagement, rappelant des souvenirs de la route de Damas vers le Palais des Muhajireen , qui a eu le dessus pour les amener aux fauteuils du pouvoir, à un moment où ils étaient absents que quoi Après l’assassinat du Premier ministre Rafik Hariri et les assassinats qui ont touché ses personnalités médiatiques, politiques et économiques les plus en vue, la sortie de l’armée syrienne n’est plus la même qu’avant.
La source ajoute que l’alliance établie par le « Courant patriotique libre » avec le « Hezbollah » a poussé les choses à l’État que le Liban a atteint de l’effondrement sur les plans économique, social et sécuritaire, et ce sont eux qui ont pris le pouvoir dans tous ses aspects et la politique étrangère, qui a isolé le Liban sur le plan arabe, du Golfe et international et tous les appels qui sont sortis de l’intérieur libanais n’ont reçu aucun écho.
Le dernier en date a été rapporté par le Premier ministre Najib Mikati, ce qu’il a cité du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane lors de leur dernière rencontre, lorsqu’il lui a dit : « Il y a une équipe au Liban qui conspire contre le Royaume, et nous allons ne pas fournir d’assistance à l’État libanais tant que le « Hezbollah » conspire contre nous et fournit une aide militaire à qui que ce soit. Il nous combat au Yémen ».
Nul doute que la situation libanaise restera ce qu’elle est au regard du chaos dans lequel elle vit, de la dispersion de ses institutions, notamment législatives élues, et de son incapacité à élire un « chef de la république » comme résultat de l’attirance entre les souverains pour l’axe de la résistance et ses alliés, notamment le « Mouvement patriotique libre ».
dont la philosophie est devenue plus un « jeu mordant », dans l’espoir de prolonger la vie de son courant politique, qui a reculé comme une composante partisane qui se considérait comme « traversant les sectes » et est maintenant ombragée par le manteau du Hezbollah, et comme ils sont dans le même bateau, les vents des changements régionaux et internationaux jetteront une ombre sur les deux alliés, quoique dans des proportions variables.
Et la source termine son discours en disant que le Hezbollah n’a aucun intérêt à mettre fin à la vacance présidentielle, même si la personnalité le suit, car il restera enchaîné à cause de l’isolement arabe et international et aggravera l’effondrement que connaît le Liban. le bombardement verbal entre les deux alliés n’est rien d’autre qu’une « propagande » qui montre l’indépendance de la décision du courant politique, et le « Hezbollah » ne cherchera pas à l’ajuster jusqu’à ce que les signes avant-coureurs de la prochaine étape apparaissent de derrière les mers.