Des informations diplomatiques pour « Sawt Beirut International », indiquent que les États-Unis ne laisseront pas le Liban seul à l’heure de l’échec de la tenue des élections présidentielles, mais au contraire ils évolueront à un niveau élevé au cours de la période à venir, même s’ils sont restés silencieux et écouté seulement toutes les positions internationales, arabes, régionales et internes concernant la présidence libanaise.
L’information indiquait qu’un intérêt américain apparaîtrait, mais la priorité est maintenant au mouvement du quintet arabe et international autour du Liban, et à la lumière de cela, un mouvement américain de haut niveau est attendu.
La France est actuellement considérée comme un pionnier dans la plongée dans le dossier libanais, et ses efforts continus depuis avant la vacance à la présidence avec toutes les parties internes et externes pour occuper ce poste en raison de ce que signifie remettre le Liban sur la carte arabe et internationale , et sont sauvetage de la part de la communauté internationale.
Les données rapportées par une source diplomatique occidentale indiquent que jusqu’à ce moment la position américaine est toujours entachée d’un extrême secret en public, car Washington hésite à intervenir directement dans le dossier. Cependant, l’administration américaine est toujours très convaincue du commandant de l’armée comme président de la république, et elle ne délibérera pas sur un autre nom que le sien si elle estime, au cours des prochaines semaines, que dans ses discussions non publiques il est censé nommer quelqu’un.
Dans le même temps, l’administration américaine se rend compte que Washington n’est pas le seul acteur sur la scène libanaise. Par conséquent, les États-Unis ne veulent montrer leur soutien à aucun nom, peut-être pour que la personne ne soit pas confrontée dans le domaine de sa capacité à atteindre le palais de Baabda.
Les sources indiquent que les deux vrais candidats jusqu’à présent sont le commandant de l’armée et l’ancien ministre Suleiman Franjieh. Ces sources ont révélé que Riyad a communiqué sa position au gouvernement libanais, à l’effet qu’il n’acceptera pas un président de la république affilié au « Hezbollah », et qu’il reconnaît les rôles et la présence de toutes les parties, et que ni lui ni Washington ne peuvent annuler qui que ce soit, mais il estime qu’il doit y avoir un président capable de traiter avec toutes les parties et de rendre les investissements au Liban.
Et si Riyad n’accepte pas un proche du « Hezbollah », alors les chances de Franjieh ne sont pas élevées, mais le commandant de l’armée est celui qui a le plus de chance.
Washington compte sur la démarche française sans se distancier du Liban et de ses problèmes, notamment le dossier présidentiel, donc sa démarche attendue vise à dresser un bilan sur ce dossier et sur tout ce qui entoure toute la situation libanaise.