Le Liban
Les gouvernants du pouvoir continuent d’investir dans l’effondrement libanais roulant, et cela se manifeste inévitablement à travers les apparitions et les discours de responsables qui ne portent dans leur contenu aucun plan de redressement, mais plutôt des enchères vides qui ne vantent pas la gravité de l’actuel organiser.
On ne peut pas oublier les menaces de Nasrallah, et c’est parce que ce dernier est conscient que la théorie du complot « cosmique » adoptée par ses discours est le moyen le plus important pour distraire les citoyens et détourner les accusations des vrais responsables, comme s’il ne manquait au Liban qu’une guerre avec « Israël. »
Ce n’est pas suffisant face aux crises internes, au drame vivant et social, à l’effondrement financier et économique qui s’opère, ainsi qu’au dépérissement de l’État, devenu incapable d’assurer les besoins minimums de vie des citoyens, tels que les médicaments, l’hospitalisation, les vêtements et l’expansion du mini-État, avec le peuple affligé par la junte corrompue qui a travaillé dur pour détruire le pays avec son immoralité et a fait entrer son peuple dans les feux de l’enfer sans rétroactivité.
Et surtout cela a été évoqué, alors que le Liban se noie dans l’une des pires crises économiques mondiales, et peut-être l’une des trois crises les plus graves au monde depuis le milieu du XIXe siècle, qui entraîne une augmentation des prix des produits de base biens de consommation, comme le pain, la viande, les légumes et le carburant…
Aussi, le rêve d’élections présidentielles est encore loin d’être atteint, et le pays s’engage dans un sombre tunnel dont le bout ne semble pas proche.La corruption de l’élite politique et financière au Liban, et le rêve de pouvoir et de gouvernance ont poussé le pays déjà affligé dans l’abîme, et les solutions sont inévitablement loin d’atteindre et d’influencer.
Enfin, les Libanais savent à l’intérieur et à l’extérieur, tout comme les États et l’autorité intérieure sont bien conscients que le pillage de l’argent public n’était pas un complot mais plutôt de la corruption, et couvrir les déficits budgétaires avec l’argent des déposants n’est pas une demande internationale mais plutôt une mauvaise politique suivie par l’autorité dirigeante.
De plus, l’échec de la Chambre des représentants à tenir pour responsable n’a pas été commis sous la direction des ambassades, mais plutôt une dissimulation de la corruption qui s’est produite et qui se produira, et que le système le reconnaisse.