Le patriarche maronite, le cardinal Mar Beshara Boutros Al-Rahi, a mis en garde contre le risque de porter atteinte à l’argent du peuple et au système bancaire, et contre le danger de nuire à la réputation extérieure du Liban, « de sorte qu’il devienne un pays en dehors du système financier mondial, et qu’à ce moment-là, on ne bénéficie d’aucun traitement. »

Et il a dit, dans son sermon du dimanche : « Peu importe la durée du vide présidentiel, les élections doivent avoir lieu sur la base d’un mécanisme de vote au parlement », soulignant que « le gouvernement et le ministère de l’éducation ne peuvent pas ignorer la perte d’étudiants dans l’éducation formelle. »

Il a ajouté : « Nous présentons nos condoléances à la famille du cheikh Ahmad Al-Rifai et à Dar Al-Fatwa, et nous ne pouvons pas continuer à vivre dans le chaos sécuritaire. »