Assem Araji
Le chef de la commission parlementaire de la santé, Assem Araji, a indiqué qu’il faut mettre fin aux fournitures de santé et que lorsque le mécanisme de tarification de celles-ci sera publié, l’inspection devrait effectuer le processus de surveillance et prendre des mesures juridiques contre les contrevenants qui les ont stockées.
Soulignant que c’est l’effondrement de la livre libanaise qui a fait du patient une victime.
Il a poursuivi dans une interview à la radio: « Avec notre réunion de demain, nous étudierons la hausse des tarifs hospitaliers, et les médicaments pour les maladies chroniques et incurables doivent rester subventionnés. »
D’autre part, le chef du Syndicat des propriétaires d’hôpitaux privés au Liban, Suleiman Haroun, a confirmé que le citoyen souffre, car il ne peut pas entrer dans les hôpitaux car on lui demande des sommes importantes qui ne peuvent être garanties.
Dans une interview à la radio, Haroun a déclaré que la suppression des subventions pour les médicaments contre les maladies chroniques aurait des répercussions majeures.