Le rassemblement du 4 août a fait référence à «l’étape importante» représentée par «la publication d’une déclaration commune par plus de 30 pays condamnant l’ingérence systématique dans l’enquête sur l’attentat du 4 août 2020 et avertissant l’État libanais des conséquences de ne pas mettre en œuvre ses obligations internationales.
L’assemblée a estimé que « la déclaration, publiée à l’initiative de l’Australie et avec le soutien de la France lors de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève, constitue un premier pas vers la formation d’une commission internationale d’enquête sur la criminalité au cours de la les prochaines sessions du Conseil.
Il a souligné que « cette étape est le résultat d’efforts continus depuis plus de deux ans par les familles des victimes du crime du 4 août, en coopération avec les organisations internationales des droits de l’homme qui ont établi ce processus international, telles que Human Rights Watch, Amnesty International et Legal Action Worldwide. » Worldwide), avec une coordination internationale et locale et le soutien de Kulluna Irada et du Parti du Bloc national.
En plus du soutien continu du groupe « Noon », des groupes en exil et des groupes locaux de défense des droits de l’homme et politiques.
Dans ce contexte, plus d’une lettre a été envoyée au Conseil des droits de l’homme et plus d’une déclaration a été publiée, dont la dernière a été adressée à 43 députés du parlement libanais.
L’assemblée a souligné que « ces efforts se poursuivront, en particulier lors de la prochaine session du Conseil des droits de l’homme en juin 2023, dans le but de rendre une décision du Conseil de former une commission internationale d’enquête sur la criminalité.
Cela vient à la lumière de la suspension continue de l’enquête interne sur le crime, de l’intervention pour entraver la justice et de l’approche de l’impunité qui domine les principes de responsabilité et de justice. «