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Le chef du Mouvement pour le changement a rendu visite à l’avocat Elie Mahfoud, chef du Mouvement pour l’indépendance, Michel Mouawad, à son domicile de Hazmieh, dans le cadre de sa tournée des partis politiques et des dirigeants pour remettre le mémorandum de l’ONU.
« L’une des personnalités politiques les plus convenues sur les questions souveraines est l’approche, en particulier le point de vue des armes de milice du Hezbollah, Michel Mouawad, et il n’est pas nécessaire d’élaborer sur le débat ou la persuasion », a déclaré Mahfoud après la réunion. « Je pense que ce sera une ligne de conduite commune parce que nous sommes d’accord sur la plupart des détails, at-il dit.
Et de poursuivre: « Dans l’atmosphère politique générale, je suis dans la maison du martyr René Mouawad et j’entends parler d’achat et de vente comme toujours dans les grandes agglomérations. Pourquoi dirais-je la maison du martyr René Mouawad ? Parce qu’au moins c’est notre point de vue, surtout au sens politique de l’assassinat, et nous savons tous qui a assassiné le martyr René Mouawad et le rôle du régime syrien dans cette affaire. Les Libanais ne devraient pas permettre les ragots selon qui nous seront re vendus ou qu’ils nous re peignent pour le régime de Bachar al-Assad. Rappelez-vous très bien que même la Syrie d’aujourd’hui est colonisée par les Russes et par les Iraniens et donc aucun État colonial ne peut essayer à nouveau d’entrer dans l’arène libanaise. Malgré le retrait de l’armée d’occupation syrienne il y a des années, elle n’a pas quitté la scène libanaise. Ce que nous avons vu au sujet des dépôts à la Chambre des représentants et de l’imposition de certains députés à certains partis pour qu’ils soient des dépôts ne s’est pas arrêté, et nous savons comment envoyer des explosifs avec certains de ses agents et l’un d’eux est toujours en prison, donc personne ne pense que nous sommes rassurés que ce système est sorti du Liban. Tant que la doctrine du parti Baas considère le Liban comme faisant partie intégrante du pays syrien comme on l’appelle, le problème existe toujours. »
Il a poursuivi: « En ce qui concerne la question des détenus dans les prisons syriennes, nous et le régime syrien dans un historique, problème sanglant, idéologique, géographique et historique, le problème des frontières et des personnes enlevées et le problème des crimes commis au Liban et donc personne ne croit que l’atmosphère politique générale saoudienne était assis avec le Syrien, les Émirats arabes unis ont ouvert une ambassade et le Syrien tente d’imprimer avec les Israéliens, cela ne nous concerne pas du tout, notre position est claire et franche, que ce régime n’a pas changé notre point de vue à son égard, et encore moins que l’intégration entre la milice iranienne dans la milice libanaise Hezbollah milice et ce régime syrien. On n’a pas peur et personne n’essaie de se moquer de nous. « C’est une question réglée et je ne pense pas que ce soit la position d’Eli Mahfoud seulement, la position des seules forces libanaises, la position du parti Kataib, les indépendants, ou même la position de Michel Mouawad, je pense que c’est beaucoup de position libanaise », a-t-il dit.
« La visite du ministre des Affaires étrangères de Français a jeté une ombre sur la scène politique au Liban et je répète que personne ne peut enlever nos épines, mais nos mains, et personne ne peut nous déplacer du marais où nous sommes, mais les Libanais et bien sûr le personnel politique actuel ne peut pas continuer comme ça et voir effrontément comment les gens sont drainés, appauvris et en faillite, et il est toujours complémentaire comme si rien n’était. « Continuer comme ça nous emmène non seulement en enfer, mais aussi à une explosion dans un volcan social très grand, et si le personnel politique ne se résigne pas volontairement aux Libanais, alors cette éruption volcanique va les retirer de la carte politique. »