Député Michel Moawad
Le bureau de presse du chef du député « Mouvement indépendantiste », Michel Moawad, a publié la déclaration suivante :
Nabih Berri, chef du Mouvement Amal, qui a confisqué la présidence de la Chambre des représentants pendant plus de 30 ans, nous a dit qu’il n’était pas digne du chef de l’institution parlementaire, mais plutôt digne de lui en tant que milice.
La déclaration de Nabih Berri selon laquelle « notre candidat est sérieux et nous l’avons souligné à plusieurs reprises, mais leur candidat n’est rien d’autre qu’une expérience de chimère » est une tentative d’offenser un président martyr, le président René Moawad. Cet abus est également dirigé contre tous les députés et blocs qui ont voté pour le député Michel Moawad lors des sessions de l’élection présidentielle, et les abus affectent aussi directement Zgharta et le Nord qu’il représente au Parlement et qui ont toujours été bien représentés par René Moawad et Nayla Moawad, et peut-être que leur « candidat » devrait répondre lui-même s’il accepte l’insulte de Zgharta Al-Zawiya et du Nord, comme l’a fait son « parrain » Nabih Berri.
Peut-être la citation la plus vraie de Berri est la tentative de dire: « il est le temps de se souvenir au dernier jour à Doha après la signature de l’accord le 21 mai 2008, j’ai annoncé la levée du siège du centre-ville de Beyrouth. » Oui, les Libanais n’oublient pas et n’oublieront pas et n’ont pas besoin de quelqu’un pour leur rappeler les pratiques des ventes de milices de Berri, ni son siège de Beyrouth, de son peuple et de son économie, ni son invasion du 7 mai, ni son siège aujourd’hui avec son allié « Hezbollah » de tout le pays pour satisfaire des projets étrangers, ni sa tentative de renverser la position de la présidence de la république en insistant soit pour faire venir un président affilié à l’axe de la résistance et soumis à celui-ci, soit pour perturber la république, la paralyser et confisquer les pouvoirs du président de la république.
Quant au président d’Amal, il est un « maître » de la corruption à travers les époques et les gouvernements et le plus grand partenaire dans tous les quotas depuis 1992 et même depuis avant Taïf. C’est ce que les Libanais qui se moquent de la « blague des 51% », des dossiers de l’électricité, du diesel et de toute la reconstruction du sud et de son conseil parfumé, est complètement le président du parlement successif, qui n’a pas tenu le gouvernement responsable n’a pas puni les corrompus et a causé le gaspillage de dizaines de milliards de dollars, volant les moyens de subsistance des libanais et leurs moyens de subsistance, et bourrant l’administration de copains et de copains.
Ce qui réchauffe peut-être le cœur des Libanais, c’est que le Conseil actuel a montré votre résistance personnelle et la performance qu’il représente après que vous ayez transformé la présidence du Conseil en un repaire sectaire qui le protège de la colère des pratiques des milices populaires, de sorte que vous êtes resté à votre poste avec seulement 65 voix… La fin de ce mandat est proche.