Avant midi aujourd’hui, samedi, des militants ont organisé un sit-in symbolique devant le palais de justice de Beyrouth, pour exiger la destitution du procureur général discriminatoire, le juge Ghassan Oweidat.
Les militants ont mis en garde contre les effusions de sang artificielles pour faire sauter la rue, insistant sur la nécessité de profiter de la sagesse et de maintenir la stabilité, mais cela n’empêche pas de se révolter contre les décisions illégales et de faire entendre leur voix.
En réponse à une question du journaliste de « Sawt Beirut International » sur la raison pour laquelle les familles des victimes du port n’ont pas participé à ce déménagement, l’avocat Pierre Gemayel, frère d’une des victimes du port de Beyrouth, a indiqué que cette était principalement dû à ce qui a été dit au sujet d’un appel à un entretien de stand-up en faveur du juge Oweidat.
Considérant que ce n’est que de la rhétorique pour soulever des préoccupations au sujet de la règle « rue pour rue ».
Alors que le correspondant de « Sawt Beirut International » a indiqué que l’appel à une prise de position en solidarité avec le juge Oweidat restait dans son cadre hypothétique pour intimider les gens de se rendre au Palais de justice et de soutenir le juge Tariq Al-Bitar.
Par ailleurs, le correspondant de « Voice of Beirut International » a accompagné les renforts militaires au rond-point de Tayouneh, craignant tout frottement entre les participants aux veillées de protestation devant le Palais de justice, soulignant que les sources ont confirmé que le « duo chiite » n’envoie aucune invitation à se déplacer en soutien au juge Ghassan Oweidat, et non Il n’y a aucune décision à prendre dans la rue.